L’université de Sebha organise un atelier sur le rôle des établissements d’enseignement supérieur dans les questions de migration

L’université de Sebha a organisé un atelier intitulé « Le rôle des établissements d’enseignement supérieur dans la gestion des questions de migration : Approches et initiatives », auquel a participé un groupe d’universitaires et de fonctionnaires locaux et internationaux, dans le but de discuter des moyens d’aborder les questions de migration et du rôle des universités dans la recherche de solutions durables à ce phénomène.

Masoud Emhamed Al-Raqeeq, le directeur du bureau de coopération internationale de l’université, Mohamed Ahmed Mahrez, le maire de la municipalité de Sebha, des responsables d’universités libyennes et internationales, des organisations internationales telles que l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), ainsi que des représentants des ministères des affaires étrangères, du travail, de l’urbanisme et de l’aéroport international de Sebha.

Dans son discours, le Dr Masoud Al-Raqeeq a souligné l’importance de la coopération universitaire pour relever les défis de la migration, notant que l’université de Sebha, l’une des plus anciennes universités de Libye, joue un rôle central dans ce domaine. Le professeur Mohamed Ahmed Mahrez a souligné le rôle de l’enseignement supérieur dans la mise en place de capacités de recherche spécialisées pour traiter les questions de migration, en insistant sur l’importance de la coopération internationale dans ce contexte.

Marcelo, directeur de l’Union des universités méditerranéennes, a salué les efforts de l’université pour promouvoir la sensibilisation aux droits des migrants, soulignant que l’éducation est l’un des outils les plus importants pour faire face aux défis de la migration et promouvoir la coexistence sociale.

L’atelier s’est conclu par des sessions de discussion visant à élaborer des recommandations pratiques qui contribuent au développement de stratégies durables pour traiter les questions de migration par le biais de la recherche universitaire et de la coopération internationale.